Sunday, January 11, 2009

week one - fifty one to go...

Pouh... eh bien si je m'étais imaginé que ce serait si difficile, je ne me serais peut-être (certainement ) pas fixé la barre aussi haut.

Question régime, j'en suis déja à mon troisième de la semaine. Après le dissocié, j'ai fait un peu d'hypnose, et je viens de passer la soirée (atablée devant une bonne bitter des familles) à me faire coacher par un ami de mon cousin, coach de fitness.

Allons bon. Je ne sais plus quoi faire... dans quel sens me diriger, quelle solution choisir, quelle motivation trouver!? Bouh c'est insupportable cette histoire de perdre du poids. Ce qui est clair c'est que c'est indispensable, mais à 31 ans (et autant d'années de mauvaises habitudes derrière moi) je sens que la pente sera rude et honnêtement je ne sais pas si je vais y arriver... Surtout si je bois de la bitter le samedi.

Non mais franchement, je ne picole pas beaucoup du tout - c'est fou d'ailleurs, depuis que je suis à Londres j'ai dramatiquement réduit ma consommation d'alcool: y'a un truc qui ne tourne pas rond, là! Alors c'est vraiment pas la peine de me demander d'arrêter de boire une petite pinte de temps en temps, je vous préviens, dieux de la minceur!

Concernant le retour au bercail, croisons les doigts pour que ça s'arrange bientôt - mais pas franchement de nouvelles fraiches cette semaine. J'ai été malade 2 jours (d'un genre de gripounette) mais je ne suis pas allée voir le médecin. Non, car je ne peux pas - mon médecin attitré est à Putney (ou j'ai habité pendant 6 mois) et j'en suis à 1h30 - quand il fait moins douze, c'est tout simplement trop me demander.

De toute façon les médecins ici ne servent à rien - l'été dernier, avec une bronchite allergique carabinée, on m'a préconisé (au bout de 15 coups de fil, et 3h d'attente) de faire des inhalations de vapeur. Oui, carrément. Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas encore raconté, cet épisode - certainement parce que ça m'avait déprimé au plus profond de mon moi intérieur.

Ne revenons donc pas là dessus. Je suis donc restée au chaud, et c'est passé. On peut pas faire ça en France en revanche, sans mot du médecin - j'ai juste appelé le bureau pour leur dire et basta... mmmm... à choisir je prends le mot du médecin quand même.

Mes autres résolutions n'ont pas beaucoup progressé, passons donc pour aujourd'hui. De plus, il est tard, et on dirait qu'un drame familial (indirect) se trame. Je vais suivre tout celà avant d'en dire plus mais je crois que c'est potentiellement quelquechose qui risque de mettre mes histoires de régime au douzième plan en terme de pertinence et d'importance. Relativisons un peu avant de s'endormir.

Monday, January 5, 2009

Santa brought me determination

A chaque nouvelle année (que je vous souhaite d'être absolument merveilleuse en tous points) son lot de résolutions et de déceptions.

 

En 2009 je voudrais perdre 15 kilos (ne faites pas des têtes d'ahuris comme si ca ne se voyait pas), trouver un boulot pour lequel j'ai envie de me lever le matin, rentrer a Lille (ou pas trop loin) et trouver l'âme sœur.

 

Alors que les 4 sont possibles au sens large du terme (tout est possible après tout) soyons honnêtes, je pense que le seul objectif/souhait qui soit réaliste, est celui de rentrer à Lille. Dois-je pour autant abandonner pour autant mes 3 autres projets (je suis forte en synonymes, hein) ?

 

Telle est la crise de conscience du jour, alors que je n'ai pose mon postérieur sur ma chaise de bureau que depuis quelques heures. Quand l'ennui s'empare de moi c'est terrible.

 

1 – 15 kilos a revendre. Complètement possible dans l'absolu mais j'ai une relation ultra émotionnelle avec la bouffe et des que je sens une baisse de moral j'ai des envies enfantines et gourmandes dont un psy vous dira des nouvelles. Perdre du poids ca veut dire se sentir bien – challenge quasi perdu d'avance vu que l'un ne va pas sans l'autre et qu'avoir 15 kilos de trop me déprime…

 

2 – un boulot qui stimule. Je vous passe le phénomène de la crise financière globale et j'enchaine direct avec « mais je ne sais pas quoi faire ». Je sais ce que je sais faire (communiquer) mais ce n'est pas forcement ce que j'aime dans le sens professionnel du terme. Tapoter des newsletter et des e-mailings isolée derrière un écran d'ordinateur me donne tout simplement envie de me pendre. Non moi ce que j'aime ce sont les gens – les mossieurs et les madames, les écouter, les conseiller, leur parler, tout ca quoi. Il parait que c'est pas un métier si on ne leur vend rien au passage. C'est dommage.

 

3 – trouver ma moitie. Ouais, encore une lubie passagère de l'ordre permanent, mais cette année j'en fais mon affaire. Je ne flancherai pas, gloussante et rougissante d'émoi devant les charmants jeunes hommes célibataires sur mon chemin, je ne tomberai pas non plus amoureuse du premier nanard qui se présente a moi, et je ne ferai pas trop la fine bouche, ce sera ca le plus difficile. Oui, mais je trouverai l'âme sœur avant 2010 – ou enfin euuuuuh… ce serait bien avant la ménopause si possible.

 

Ce qui nous amène a ma principale et dernière résolution, la plus importante et celle dont je ne saurais être déçue : retrouver les amis et la famille, après déjà presque 18 mois a Londres, il est temps de rentrer au bercail. Peu importe qu'on les voit peu, voire jamais, peu importe qu'elles soient mères de famille débordées, qu'ils soient toujours en vadrouille, peu importe qu'on déplore le manque d'internationaux aux aventures extraordinaires a raconter autour d'une bière : tant qu'on est chez soi, on est forcement bien… et la, la résolution 1 m'attend au tournant.